Produits d’origine végétale et services pour le traitement d’eau industriel et institutionnel Eau

Le Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (CHUS) est le 4e plus grand centre hospitalier du Québec et le principal établissement du Réseau universitaire intégré de santé (RUIS) de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l'Université de Sherbrooke. Avec plus de 6 800 employés, médecins et pharmaciens et plus de 3 400 étudiants, le CHUS est un pôle académique et économique important de l'est du Québec et le 2e plus grand employeur de l'Estrie. Le CHUS a mandaté TGWT (« Les Gars du Tanin® ») pour l’installation de tanins purifiés pour le traitement d’eau des chaudières à vapeur pour chauffer l’établissement. Le système est écologique et permet une amélioration en efficacité énergétique ainsi qu'une réduction des effluents.

Bénéfices économiques:

Le projet a permis de nombreux avantages économiques parmi lesquels une réduction de la consommation énergétique de 2,1% ou 52 718 m3/an de gaz naturel , une réduction du temps-homme pour les analyses d’eau de 82 heures/an, une réduction de la consommation d’eau de 12,2% ou 1 079 997 litres/an et enfin une augmentation de l’efficacité thermique des chaudières et réduction du coût de maintenance. Depuis 10 ans, c’est l’équivalent du chauffage nécessaire pour 420 maisons résidentielles de 1500 pi2, de 480 camions-citernes d’eau économisée, ou d'environ 820 heures et 20 500$ qui ont été épargnés.

Bénéfices environnementaux:

Le projet a permis des réductions des émissions de GES de 2,1% ou 100 t/an, mais également une réduction des purges (eau rejetée au drain) de 75,7% et une réduction de la toxicité des purges . Il a également permis le remplacement des 3 produits de chimie conventionnelle, plutôt toxiques, par un seul produit de chimie verte, à base de tanins purifiés. Désormais les chaudières utilisent  de 2 à 3 barils de produits chimiques par année comparativement à 12 à 15 avec les produits concurrents, générant moins de transport et moins de rebuts de plastique. Depuis 10 ans, c’est l’équivalent d’avoir retiré de la route 220 voitures moyennes; ou environ 500 camions-citernes qui n’ont pas été rejetés au drain.